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Il y a eu, selon le calcul de Matt Maddox, «trois ou quatre mois de bonheur» depuis qu’il est devenu directeur général de Wynn Resorts. Mis à part ce répit à la fin de 2019, il s’agit d’une crise sans fin.  La signature de Steve Wynn brille toujours sur les toits de Las Vegas, trois ans après que le milliardaire qui a transformé le centre de jeu du Nevada a démissionné de sa société de casino pour des allégations d’ inconduite sexuelle qu’il a niées.
Les régulateurs des jeux du Nevada et du Massachusetts ont ouvert des enquêtes, un fonds de pension a affirmé que le conseil avait «sciemment fermé les yeux» sur des décennies d’inconduite présumée et les analystes se sont demandé ce qui arriverait à l’entreprise sans son fondateur. Comme on l’a dit sans ambages: «Steve Wynn est l’entreprise.»  Mais en février 2018, l’entreprise de M. Wynn est devenue le problème de M. Maddox. Il faisait partie du groupe depuis 16 ans, son premier défi a donc été d’expliquer comment lui et le reste de la direction de Wynn avaient manqué la conduite présumée de M. Wynn et pourquoi ils ont ensuite rejeté les allégations (…) Lire la suite sur Financial Times

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