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Wi-fi, ménage, eau, électricité compris : une chambre pour 900 euros par mois, c’est la formule de location qu’a mis en place le groupe hôtelier Happyculture pour faire face à la crise sanitaire. Et ça cartonne.

Wi-fi, ménage, eau, électricité compris : une chambre pour 900 euros par mois, c’est la formule de location qu’a mis en place le groupe hôtelier Happyculture pour faire face à la crise sanitaire. Et ça cartonne.

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« Une vie de château pour le prix d’un studio. » Certes le slogan est passablement exagéré mais c’est un peu le principe. Et finalement, la promesse n’est pas loin d’être tenue. Le groupe Happyculture, qui regroupe une quarantaine d’hôtels en France, dont la moitié à Paris et dans les Hauts-de-Seine, propose Homppy, une formule alléchante d’une chambre à 900 euros par mois comprenant le wi-fi et le ménage 2 fois dans le mois. Dans la capitale, près de 600 chambres sont encore concernées jusqu’à la fin du mois d’août, puis 200 jusqu’à fin 2022.

Le Covid est évidemment à l’origine de ce changement de stratégie. En voyant les touristes et les professionnels disparaître de Paris l’année dernière, le groupe a dû adapter son offre. « On a bénéficié des aides d’Etat mais ça ne suffisait pas, reconnaît Gaëtan Le Pogam, directeur marketing et commercial d’Happyculture. On devait donc entièrement repenser nos formules en faisant preuve de flexibilité et en adaptant nos prix. »

Résultat, les chambres ne se louent plus uniquement la nuit mais au mois, à la semaine… et même à l’heure. Très vite, les responsables du groupe ont compris qu’ils avaient une carte à jouer pour remplir durablement leurs hôtels. « À cause de la tension immobilière qui règne sur Paris, on s’est dit qu’en proposant des prix pouvant concurrencer ceux d’un studio en ayant les avantages du tout compris comme l’eau, l’électricité, le wi-fi, ou encore le ménage, on allait attirer du monde, poursuit-il. Nous ne faisons aucune sélection, pas besoin non plus d’avoir un garant puisque le paiement se fait en début de mois et le tout est renouvelable chaque mois. » (…) Lire la suite sur Le Parisien (article payant)

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