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Comme rapporté par Courrier International, la journaliste anglaise a testé deux établissements qui mettent en avant les services offerts aux télétravailleurs : le Birch et le Shangri La (niché entre le 34 et 52ème étage de The Shard »).

Entre le coût d’une nuit dans un de ces hôtels (160 livres (190 euros) au Birch et 350 livres (416 euros) au Shangri La ), cela semble déraisonnable Londres proposant de nombreux espaces de coworking -Wework…- design et proposant toutes les facilités pour moins de 50 £ la journée.

De plus, se concentrer dans un établissement hôtelier aussi luxueux soit-il n’est jamais chose aisée tant l’environnement semble éloigné d’un lieu de travail !

Si les hôtels mettent en avant le slogan  “pour que le travail ne ressemble pas à du travail”, cela semble contre productif  : ces lieux ne favorisent pas spécialement la productivité !

Comme indiqué  par Courrier International « quand on parvient à se mettre pour de bon au travail, “pendant qu’on actualise une feuille de calcul ou qu’on répond à ses courriels professionnels”, on oublie “les sols en marbre” et “les piles de serviettes moelleuses” finissent par paraître incongrues. Bref, on se demande si l’on ne serait pas aussi bien chez soi “à travailler sur la table de la cuisine” – ou même, les jours où la climatisation est bienvenue, au bureau… »

 

Pour la chroniqueuse de The Economist, aucun risque de voir une déferlante de cols blancs dans les hôtels ! C’est, en somme, un épiphénomène porté par le marketing ambiant ! No future !

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