Le rapporteur public a, entre autres, estimé que le groupe hôtelier n’avait pas suffisamment démontré qu’il avait cherché une solution de reclassement pour ces salariés dans d’autres de ses établissements.
Mais aussi qu’il n’avait pas réellement fourni de données chiffrées sur de possibles départs anticipés à la retraite. Des informations qui ont manqué, selon le magistrat, au comité d’entreprise pour qu’il ait toute connaissance de la situation.
« L’inspection du travail était tenue de refuser les demandes de licenciement sollicitées« , a conclu le rapporteur public. (…) Lire la suite sur TNTV News