Le surlendemain, elle avait dû retourner travailler dans la chambre où elle avait été agressée. Elle avait ensuite cessé de travailler pour l’établissement du fait de la dégradation de son état de santé.
Dans son jugement, le conseil des prud’hommes a estimé que l’employeur a manqué à son devoir de sécurité envers la salariée, défendue par le syndicat de la CNT-SO. La rupture de son contrat de travail après l’événement a également été considérée comme intervenue du fait de ces manquements. (…) Article complet sur Marsactu