Le texte déposé par Gilles Meystre, président de Gastrovaud, souhaite «des mesures d’aides spécifiques à l’hôtellerie vaudoise, dans le but de pérenniser son patrimoine au sens d’une économie durable, de préserver ses emplois comme ses salaires et d’éviter les faillites dommageables à l’ensemble de l’économie vaudoise». Il a été soutenu par 108 voix pour, 11 contre et 9 abstentions. Le Conseil d’Etat a désormais trois mois pour y répondre.
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