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Léa Lassarat, Serial entrepreneuse de l’hôtellerie-restauration

Sérial entrepreneuse de l'hôtellerie-restauration, Léa Lassarat a été la première femme à la tête d'une CCI en Normandie. Avec son réseau Femmes et Challenges, elle a créé un cadre pour « permettre aux femmes d'oser » l'aventure entrepreneuriale. Les Echos Entrepreneurs lui consacre un excellent portrait ! À lire

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Léa Lassarat est une figure de l’ entrepreneuriat féminin en Normandie. A cinquante et un ans, la serial entrepreneuse a fondé six établissements de l’hôtellerie-restauration, générant un chiffre d’affaires global de plus de 10 millions d’euros en 2021, le tout avec un ancrage local assumé. D’ Étretat à Honfleur en passant par Le Havre, tous ses établissements sont situés en Seine-Maritime. A l’exception de l’hôtel Au Chamois d’Or, un cinq étoiles avec restaurant et spa installé à l’Alpe d’Huez.

Mais ce parcours n’avait rien d’une évidence. Léa Lassarat était vouée à reprendre l’entreprise familiale, ce qu’elle a fait un temps avant de suivre son propre chemin.

Héritage familial et mobilier

« Mes grands-parents étaient ferrailleurs, ils ont ouvert une petite boutique d’antiquités au Havre », raconte celle qui est née dans le populaire quartier des Neiges. De cet intérêt familial pour la brocante et la maison naît « Interior’s » en 1977, une boutique de meubles et d’accessoires de décoration. « Notre PME a grandi à une vitesse folle », se souvient Léa Lassarat, encore jeune, mais pour qui l’avenir est déjà tout tracé. Celle-ci part étudier dans une école de commerce parisienne, le Paris MBA Institute, qu’elle quitte au bout de huit mois.

Car il est désormais temps pour elle de se préparer à reprendre l’entreprise familiale. Première étape, et pas des moindres : ouvrir une succursale d’Interior’s à Bath en Angleterre. « Mon anglais était encore très mauvais, j’ai dû apprendre sur le tas », se souvient celle qui avait alors tout juste dix-huit ans. Sa mission est de trouver des entrepôts et des affréteurs afin de s’assurer de la bonne logistique de la filiale du groupe. Elle expérimente alors ses premières frustrations professionnelles. « Un transporteur m’a planté la veille d’un Salon important pour nous. J’ai fondu en larmes », assume l’entrepreneuse. (…) Lire la suite sur Les Echos

SourceLes Echos
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