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L’hôtel du Palais, restauré entièrement à l’ancienne, est devenu le symbole d’un luxe historique dissimulé derrière des prouesses technologiques. Reprenant la célèbre citation du livre Le Guépard « Il faut que tout change pour que rien ne change »​, la maire de Biarritz, Maeder Arosteguy (LR), fait découvrir les lieux éclairés de lustres monumentaux à lourds cristaux, qui surplombent le bar. Ils ont été démontés, transportés en Italie et convertis à l’éclairage led. 500 000 € ont été investis pour économiser la dépense énergétique.

Une propriété municipale

Déjà trois hivers complets de travaux et quasiment 70 millions d’euros engloutis dans la rénovation du palace qui surplombe le soleil couchant sur l’océan et les surfeurs. L’hôtel, véritable icone de la station balnéaire basque, est propriété de la mairie depuis une cinquantaine d’années pour éviter le dépeçage en appartements.

En forme de E comme Eugénie

La Ville a prescrit une cure de jouvence à l’établissement chargé d’histoire. Construit en 1855 par Napoléon III n(…) Lire la suite sur Ouest France

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