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Le Nespo, pour faire comme les stars

Le Nespo a ouvert en 2019. Depuis, il est devenu l’endroit préféré des célébrités comme Sharon Stone, Maître Gims ou Fabio Quartararo. Mais la vraie star, c’est le chef Victorien Duchesne, qui propose une cuisine française influencée par la Méditerranée comme la sole meunière ou les linguini au homard. 48, boulevard Victor-Hugo, entre 24 et 55 euros.

Le Marie Jeanne, pour consommer du CBD à toutes les sauces

C’est une première en France. Le Marie Jeanne propose uniquement des plats au CBD. Tartare de bœuf ou de saumon, pâtes ou gnocchis, tout est cuisiné avec cet ingrédient, jusqu’au dessert et le vin. Avec 0,2 % de THC, la substance psychotrope du cannabis, le CBD n’a pas d’effet euphorisant mais est relaxant. 32, avenue Alfred-Borriglione, plats à 16 euros.

Le Superbol, pour découvrir les wanpakus japonais

Avec la crise sanitaire et l’offre déjà présente de cuisine hawaïenne, c’était un double pari pour l’équipe du Superbol. Pour se démarquer, les gérants ont importé du Japon les Wanpakus, ces sandwichs plein de couleurs très à la mode sur les réseaux. A part sur l’île, le seul restaurant qui en propose est à New York, excepté la version de Sushi Shop. 11 ter, rue du Congrès, entre 12 et 13,50 euros.

Le Balm, pour manger locavore et cosmopolite

A l’ouest de la ville, dans l’hôtel Crowne Plaza, le Balm, qui veut dire « bienvenue à la maison » est un endroit chic mais convivial. Pour des lunchs ou des apéros afterworks, le restaurant offre une cuisine locavore inspirée du monde entier. 2, rue Costes et Bellonte, entre 15 et 21 euros.

Le Carmela, pour voyager en Italie version haut de gamme

La famille Gusto s’est agrandie avec un cinquième établissement cet été au bout du cours Saleya. Avec toujours la même recette du succès : des pâtes, des pizzas et des desserts de grande qualité, le tout dans une ambiance chaleureuse et classe. 3, pacel Charles-Félix, entre 13 et 29 euros. Article complet sur Nice Matin

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