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Pouvez-vous nous expliquer votre parcours ?

Mathilde Abadie : J’ai commencé par un Bac général économique et social. Après le lycée, je me suis dirigée vers une école hôtelière. Ce choix était une évidence ; mes grands-parents avaient une maison d’hôtes lorsque j’étais petite et j’ai toujours su que c’était un domaine qui m’intéressait. J’ai intégré l’école Les Roches, sur le campus de Crans-Montana en Suisse, en Bachelor Management hôtelier international. Pendant mon cursus de trois ans, j’ai effectué deux stages.

Pour le premier, j’ai travaillé au Pavyllon, le restaurant trois étoiles de Yannick Alléno, qui se situe au Pavillon Ledoyen à Paris. J’y ai fait deux mois de service et quatre mois d’accueil client. Pour mon second stage, j’ai choisi de faire de l’évènementiel dans une petite agence de communication hors-média, à Paris également. (…)

Une fois diplômée, je me suis redécouvert une passion pour la cuisine, j’ai donc choisi de valider une formation dans le domaine. Je me suis inscrite en octobre 2021 pour une formation d’un an au sein de l’école d’arts culinaires le Cordon Bleu, à Paris.

Pourquoi avoir choisi de vous orienter vers ces écoles en particulier ?

Avant de m’arrêter sur une école, j’ai fais les portes ouvertes de plusieurs établissements hôteliers en Suisse : l’école de LausanneGlion et Les Roches. J’ai eu un coup de cœur pour la dernière, une vraie révélation ! Aux Roches, les étudiants viennent des quatre coins du monde, c’est un milieu très international. (…)

En ce qui concerne le Cordon Bleu, je souhaitais une formation courte mais de qualité.(…)

Avez-vus quelques conseils pour un(e) étudiant(e) qui souhaiterait s’orienter vers l’hôtellerie et/ou la restauration ?

Pour moi, l’hôtellerie est le plus beau métier du monde ! C’est un milieu qui se renouvelle en permanence et qui convient parfaitement aux personnes qui n’ont pas envie d’exercer un métier ordinaire, ou qui n’ont pas envie de travailler dans un bureau toute la journée. Il faut se lancer, ne pas avoir peur des horaires qui sont parfois compliqués, voir au-delà du côté contraignant parce que les aspects positifs sont bien supérieurs aux aspects négatifs. (…) Lire l’article complet sur Studyrama

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